Portrait de Franchisé | Juin 2023

Ce mois-ci nous allons à la rencontre de Nicolas Sniadoch, Franchisé à Orléans depuis 2015 et à Blois depuis 2021

Qui es-tu ?

Je m’appelle Nicolas, j’ai 49 ans, et je suis Orléanais. Je suis marié avec Catherine qui a rejoint l’équipe depuis 2 ans et nous avons 2 grands garçons, Geoffroy et Edouard. Je suis autodidacte et j’ai toujours aimé entreprendre.

Après une carrière dans l’informatique de près de 20 ans en tant que salarié puis à mon compte j’ai fait le tour de la question et ai souhaité décoller vers de nouveaux horizons !

C’est au cours d’une visite au salon de la franchise que j’ai découvert MBE qui m’a immédiatement séduit avec son concept novateur de centres d’expédition. J’ai ainsi ouvert mon Centre d’Orléans en 2015 puis celui de Blois en 2021.

Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton activité / ton quotidien ?

D’abord la relation avec mes clients « historiques ». Une bonne partie de la clientèle de mon Centre d’Orléans est là depuis le début, il y a 8 ans. Cela créé des liens, certes pros mais teintés d’amitié. Il y a ensuite l’aspect opérationnel pour organiser les expéditions de nos clients à travers le monde, en leur proposant des solutions là où nos concurrents n’auraient pas répondu. Enfin il y a mon équipe, des pros avec qui il fait bon travailler.

Quelle est la chose la plus insolite que tu aies faite ou la réalisation dont tu es le plus fier avec tes équipes ?

C’est surtout sur l’activité des ventes aux enchères que nous découvrons régulièrement des objets dont nous ne soupçonnions pas l’existence, comme des instruments rituéliques africains ou des affiches subversives de mai 68 « trèèès » coquines ! Ce dont je suis fier c’est quand un client nous remercie après une expédition « compliquée » parce que sans nous il aurait été en très grande difficulté et qu’on l’a sauvé.

Quels conseils donnerais-tu ?

Dans notre aventure l’humain est essentiel. Être bien entouré est la clé pour traverser les périodes difficiles et créer les succès. Et ne jamais oublier que « qui ose gagne » !